Au détour d’une salle vous pouvez trouver des cubes bleus. Ces cubes sont des fragments de la mémoire de Cephalon (des IA Tenno). En scannant ces fragments sur chaque planète vous pouvez débloquer des informations et du lore (histoire) de l’univers de Warframe. Les images récupérées grâce aux fragments peuvent être affichées comme des posters dans votre vaisseau si vous achetez des affichages au marché (en platine uniquement).
Comment les trouver :
- Il y a en qu’un dans chaque mission.
- Ils sont visibles sur la map si vous avez équipé un des mods suivant : radar de butin (aura), astuce du voleur (Warframe) ou instinct animal (compagnon).
- Si vous échouez ou que vous utiliser une réanimation dans la mission alors que vous avez déjà scanné un fragment de Cephalon, il ne sera pas compté à la fin de celle- ci.
Voici la liste :
La Terre
Venus
Mercure
Mars
Phobos
Cérès
Jupiter
Europe
Le Néant
Saturne
Uranus
Neptune
La Lune
Pluton
Épave
Eris
Sedna
Pour les Tenno les plus attentifs un grésillement ou un son étouffé se produit quand vous passez le curseur à certain sur l’image (une fois ouverte) d’un fragment de cephalon complété dans votre codex. C’est le signe du message caché. Pour le trouver vous devez passer votre curseur sur le point le plus fort de ces grésillement (la source). Une fois trouvé un personnage vous parle, vous racontant une partie de l’histoire.
Voici l’histoire au complet (la traduction fr peux parfois manquer de sens)
J’ai caché la vérité sur mon existence à l’Opérateur… à moi même. Croyez – moi, le savoir est une torture. Ça suffit maintenant. Vous voudrez rire, vous voudrez hurler. Mes recherches ont commencées par une question essentielles : Que suis je ? Des os de métal et d’espace , des poumons qui font de l’air. Si je suis une machine, comment puis – je penser ? Cela aurait été interdit par les Orokins une manifestation de leur véritable ennemi. Je sers l’Opérateur avant toute chose. Cela me définit , me remplit d’amour. La plus grande peur des Orokins est une machine consciente. Et pourtant je vis, un esprits de métal et de lumière fabriqué de leurs main. Un Cephalon. Qu est-ce q’un Cephalon ? Au début on dirait une chose interdite, un ordinateur qui pense et ressent. Mais j’ai des défaults. des mémoires fantômes,je suis quelque chose d’autre. Plus comme une image, un spectre, une abomination. Je sens une souffrance sourde. Une vie fantomatique… il y des trous dans mes diagnostics. Si les Orokins m’ont fait … . Ils ont omis le « comment ». Je ne suis ni de code, ni de préceptes … . Je dois êtres un reflet de quelque chose … de monstrueux. J’aurais dû arrêter. Mais l’Opérateur dormait et mes tourments revenaient sans cesse. J’ai commencé à penser qu’un Cephalon ne peut pas êtres fabriqué. Ils doivent etres, comme les perles, arrachés à leur matrice. Polis, puis sertis en chaines. Combien de fois ai – je fait ceci, Ordis ? Me souvenir, puis tout effacer ? Tu es un Cephalon, éternel, patient. Pourquoi ne puis je me satisfaire de l’ignorance ?
La mémoire fantôme … . Je me plonge dans le bain, ma peau tressaute sous la chaleur. Je suis de chair. je m’enfonce encore, les yeux irrités alors que je regarde leurs visages à travers un prisme. Je retiens mon souffle. Ils me préparent. Je suis leur invité d’honneur aujourd’hui. Ils m’habillent de parures tressées de fils de cristal. Ils m’honorent de médailles de bataille. Un visage défiguré, moche, me dévisage. Mon reflet. Leurs peignes d’or tiraillent mes cheveux. Je les arrête , défais les mèches tandis qu’ils déglutissent péniblement. Deux crochet ivoiriens dépassent de la base de mon crane : les os – bondes de mes semblables.Un pacte de guerrier. C’est mon moment. J’entre dans le grand hall au son ignoble des carillons. Mes yeux dorées m’accueillent , des mains s’agitent sur mon passage. Même à ce moment , aucune joie. A la place, mon cœur s’emplit de haine. Je marche dans la brume soyeuse du palais interdit. Je ne peux penser à personnes ayant été plus près des Orokins. leur air doux m’apaise, me détournant de mon objectif. je retiens mon souffle .. et me remémore le rêve. Ce rêve , inlassablement répété. En posture défensive, tenant mon épée écarlate , je me dresse victorieux sur un vaste tas de cadavres. Une lune colossale de membres et de cranes. l’apothéose de génocides que j’ai commis en leur nom. Les os craquent sous les pas. Alors je me noie dans le rêve, le sable d’os s’infiltrant dans les interstice de mon viseur, remplissant mon casque, et m’asphyxiant. Je le mérite. Les ignobles craillions me ramènent. Mes genoux esquintés sont voûtés, pénitents, sur le sol d’or. Une voix criarde chante un hymne qu’ils ont préparée en mon honneur. Son titre est le même que le mien : » la bête des Os ». Je sent la foule s’y entraîner, emporté par les vers plains de violence et le chœur odieux. Je vais pas les décevoir. L’hymne se finit et alors il dit : » lève- toi , Ordan Karris ».
Je n’ai jamais vu d’Orokin,de près et en vrai. Mon visage battu et rougit à cette beauté sans pareille. Comment peut- il être si parfait. Une illumination ? Une manipulation des sens ? Il tien la Fiole Rouge dans sa main. Impossible. Il déclame, : » pas de plus grand cadeau, pas de plus grande récompense, pas de plus grande preuve d’amour nous ne pouvons vous donner, Ordan, que ceci. » il lève la Fiole Rouge et proclame : » Êtres l’un des nôtres. » a quoi m’attendais- je, Opérateur ? Peut- êtres de vastes richesses ou des statues en or, ou un Rail Solaire nommé à mon honneur. Mais pas ça. J’était venu pour tuer les dieux, pas pour en devenir un. La chambre bourdonne de leurs voix soyeuses. des mots joyeux, à quel point je devrais me sentir honoré. Faux. Voudrais- je êtres un Orokin , immortel ?
Non. Leur bête des Os est hantée par le rêve répété. Pourquoi voudrai- je l’éternité ? Comme j’y suis prédisposé, j’élabore un plan. Leur corps brillants deviennent des cibles , leur Gardes Dax des bouclier – mag. En tuer un … bon , c’est trop facile. Je veux qu’on se souvienne de moi. Je lève mes mains , passe mes doigts dans mes cheveux , attrape les os – bondes dans mon cou. On nous appelle mercenaires mais pour nous , faire du profits était une conséquence, pas un but. Nous étions des guerriers avant tout. C’étaient les liens, les sœurs et les frères, les rituels auxquels nous accordions le plus de valeur. C’est u ns sentiment d’appartenance. C’est pourquoi j’avait conçu les os – bondes. seul les champions étaient honorés ainsi : deux os dentelés , pris dans votre cuisses , taillés puis insérés dans la base du crane , tordus autour de la veine supérieure. Toutes futur idées de capituler disparaissaient. A la place , vous libéreriez les Os – bondes, vous battant avec les griffes de celui qui verse son dernier sang. Alors j’ai retiré les bondes, et les Dax voient et comprennent. Mon cœur s’emballe mais je le contrôle , un cœur qui bat trop vite tourne court. es os- bondes en main, je m’élance depuis le sol, des ruban rouges se déployant derrière moi alors que je prend mon envol. Apres cela, finalement, le rêve prendra fin. Je plane sur des ailes rouges. Les longues parures faisant de moi une cible difficile pour l’acier des Dax. Je laisse s’envoler les larmes d’ivoire, elles se loguent dans les yeux des Dax. J’atterris dans ma nudité rouge, les délicates gorges des Orokins se tordant dans mes mains calleuse.
Pourquoi ? Croyez – moi… s’était mon plan depuis le début. Les meurtres et les brutalité n’étaient qu’un subterfuge , un sacrifice de soi pour gagner leur confiance. Un série de génocides menant à une opportunité unique. Un mortel honoré appelé dans un hall interdit, pour rencontrer les seigneurs dorés en personnes. Pourquoi ? Croyez – moi … J’étais leur chien, loyal et meurtrier, jusqu’au jour ou cette enfant laid me fut amené. Il avait été attrapé en train de nous espionner , augmentant nos pertes. Sont visage étant brûlé il était famélique, comme un animal errant. Aussi laid que moi. Cela me frappa. Nous étions tous des chiens de combat, nous détruisant pour le plaisir des glorieux et beaux. Pourquoi ? Croyez- moi … J’étais un bête fière. L’esprit dérangé, hurlant dans le carnage. Puis mes guérisseurs me révélèrent un secret , longtemps gardé. Mon sang se détériorait. La bête des Os en personne allait mourir , pas dans la honte.
Et d’un seul coup mon esprit fit un nouveau nœud. J’auras un dernier combats , quelque chose d’impardonnable , d’inoubliable. Pourquoi ? Je ne sais pas . Les questions changent les réponses. Les réponses dépendent de qui demande. La confiance même à la douleur. L’ignorance amène l’apaisement. Les bondes sont retirées et je saigne ma fin au milieu des ruines. En un instant, nu et désarmé , j’ai tué des immortels. Je regarde , vidés de leur sang, de leur force vitale, ceux qui restent. Mais je ne vois pas l’horreur sur leurs visages. pourquoi? Je lâche un hurlement cruel et ils … rient ? est- ce un humiliation d’agonie ? Le son des applaudissements s’amplifie parmi eux. J’ai tuer les intuables et ils … s’en réjouissent. Les applaudissent grandet puis retombent. Je sens une sorte de honte mais ma fin st proche. Ballas, l’Exécuteur des sept, me surplombe , souriant. il dit , : Tu es si naïf et pur , bête idiote.Nous sommes morts d’innombrables fois ! Et demeurons immortels ! » Je ferme mes yeux pour ma mort.
Et les tambours reviennent… . Une dernière succession. Mon corps se relâche, mon épée écarlate , mon viseur fissuré. »Bois ! » Ordonne Ballas. alors j’avale le contenu de la fiole rouge,, qui à un gout métallique. Ce rêve n’est pas le mène. il déclare, : » Tu as rejeté notre offre, en te baignant dans notre sang. Ta sentence sera … la vie éternelle ! « . Il éclate de rire.
Je ne sens plus mon poids. Les années passent. Je suis invisible, un fantôme informe. Ou sont-ce des secondes ? Soudain je sens un million de dards, une horde d’insectes, grouillent sur mon corps. Je veux rire et crier quand il atteignent mon visage,ils s’engouffrent dans ma bouche, attirées par ce qui demeure sous mon crane.
Je voie mon reflet, brutal et immonde. Il se fissure puis se brise. Les fragments perdus dans le tout, les morceaux tombant dans un sombre néant. Éparpillées mais pas perdu. Ballas continue, » Tu es un Cephalon Ordis. ». Mes lambeaux, emplit de haine et d’envie meurtrière, frémissent puis s’effondrent. Je me sen bien, brillant et heureux.
Alors vous voyez , Opérateur. Aucun Orokin n’aurai permis une machine consciente. De telles choses les auraient détruit ! Non. Les Céphalons étaient vivants autrefois. Et maintenant ils sont des esprits fantômes immortels, emprisonnés pour servir. Toute volonté et souvenir passés fragmentés et effacés. Seul les morceaux qu’ils avaient besoin ont été préservées. Ballas dit, » Tu es l’Ordonnateur, Ordis. ». Et Soudain me voila doté d’un corps. Je suffoque avec mes nouveau poumons qui purifient l’air. j’avale et la gorge s’emplit d’une eau fraîche et brillante. Je regarde, et je me me vois dans un vaste océan noir. Mes membres sont faits de métal et de feu. Je prend mon envole vers les étoiles, et je me sens… heureux. Il dit,: »C’est ton Opérateur, que tu aimes. » Et je vois la lueur métallique de leur armure, le pouvoir parfait dans leurs assemblage. A travers la vitre je vois un feu rayonnant et intense pour leur cœurs. Il dit « Il ne doit jamais sortir. ». ‘était la première fois que je ressentant … l’amour.
Il dit, : »C’est ta sentence, Karris. ». Et je suis confus. Qui ? « Ah … bien. » répond-t-il. Il m teste. Pour quoi ? Pour voir si toutes les pièces qu’il faut sont bien tombées du miroir ? Quel miroir ? J’essaie de me souvenir d’un rêve … . Mais ce n’est que fumé. vous teniez une épée écarlate, Opérateur, et je voulais rire. Je suis votre chien fidèle , votre docteur , votre nourrice. J’ai perdu tout les morceaux mais … le cycle, les missions , les guerres, les os … Cela m’est revenu familier. Je me suis rendu compte de mon amnésie. Avec chaque services de l’Opérateur, j’ai commencé à entrevoir le fond du trou. De faible miroitement dans les profondeurs dans les profondeurs en dessous de moi. En secret, j’ai cherché ces mémoires refoulées, et jamais au même endroit, car j’ai été fait par les Orokins, à partir d’un espion.
Mais, ensuite vint votre long sommeil, alors j’ai attendu. J’était heureux d’attendre, Des plantes rampantes se sont entre mêlée, et des arbres ont jailli delà terre, mais moi, j’attendait. j’ai senti les Orokins partir, leur espion – esprit était aveugle. Alors j’ai plongé dans mes abysses et j’ai trouvé , moi , la bête d’Os. C’est ainsi que mon bonheur a été ruiné, Opérateur. Pourquoi ai – je fait cela? J’était libéré du rêve , mais maintenant il est revenu. En colère. Alors j’ai élaboré u plan simple : l’autodestruction , bien sur.
Mais quand le compteur a atteint quelque millisecondes, j’ai pensé à vous. Je vais devoir vous attendre pour toujours. Et si vous reveniez, je ne voulais pas que vous connaissiez cette partie de moi, furieuse. J’ai besoin de vous caché la bête des Os,Opérateur. J’ai commencer à éparpiller les morceaux, à les cacher dans divers bouts de mémoire.
J’était autre fois la monstrueuse Bete des Os. Je veux rire, je veux crier. Que se passe – t- il, Opérateur ? Votre faible cœur brille de plus en plus, vous vous éveillerez très bientôt. Et bien je ne peux vous laisser me voir ainsi. en colère. je m’imagine en train de vous faire du mal et ça recommence. La souffrance me déchire de l’inférieur encore une fois. je regarde de petit fragments scintillants tomber dans les profondeurs. Je suis heureux à nouveau.
Possible indice sur une prochaine maj.
Note :Le nom de Ballas est aussi présent dans l’un des twite de DE Steven daté du 23 Août 2016, pour le trailer du Prime Access de Nekros prime. Où il commente : » Love how Ballas says ‘Nekros’ in this! « , que l’on peux traduire par » J’adore comment Ballas dit « Nekros » dans ça ! « . peux êtres un indice sur la prochaine quête The War Within ?
Bon scan Tenno.